HIBOU GRIS
(Hommage... À un frère solitaire, trop souvent absent.)
REFRAIN :
Je connais « HIBOU GRIS », fils de petit homme
La nature c’est l’harmonie, que son père lui donne
Les tribus c’est ça vie, que ça famille cautionne
Dormir dans un tipi, cela ne m’étonne
Mais le chef a envie, de bannir l’uniforme
Créer son personnage, comme le héros d’une B.D
Un guerrier à son image, pour refléter ces idées.
Dans un habit de peau, il arpente la coiffe du chef
Il sait bien que c’est beau, le canyon et ces reliefs.
Dans ce monde imaginaire, comme un Indien dans la ville
Restant très loin des affaires, il a eu pourtant deux filles,
Deux très belles cheyennes, qui s’ajoutent à l’aventure
Pour lui, c’est une aubaine, la solitude c’est dur.
Emprisonné dans son rêve, par le piège du même nom
Enraciné dans sa réserve, il attaque les canons,
Mais compte que sur lui même, ne crois pas à ces dieux
Il préfère la migraine, que lui procure l’eau-de-feu.
Après cette morale, tirée du légendaire
Un chef visage pâle, sur son cheval de fer
Porté à disparaître, il partira en fumée
Écris le poète, aux lueurs du bûché.
SEDITIO AMOR
Date de dernière mise à jour : vendredi 02 juillet 2021
Commentaires
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- 1. mylene Le lundi 28 avril 2014
J'aime ce poème à lire dans la nuit de l'ombre.
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